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Tous les articles et dossiers - Page 79

30 octobre 1986 Paru dans le N°104 à la page 105

Le gisement des déchets organiques, de par son importance sur le plan quantitatif, représente pour l’agriculture un potentiel de matière susceptible de remédier en partie aux problèmes liés à la diminution des taux de matière organique des sols comme d’abaisser les coûts de production en substituant aux engrais minéraux les éléments fertilisants contenus dans ces sous-produits....

30 octobre 1986 Paru dans le N°104 à la page 83

Les ateliers de traitement de surface produisent des eaux très chargées en polluants : elles peuvent notamment contenir divers métaux sous forme de sels, des toxiques dissous, des composés cyanurés, des eaux très acides ou des eaux très alcalines. Elles proviennent en général de bains de rinçage, de bains morts de traitement ou de fuites diverses de produits chimiques....

30 octobre 1986 Paru dans le N°104 à la page 75

L'encrassement, côté « eau », des échangeurs de chaleur dans les industries chimiques et le raffinage est l'un des problèmes les plus coûteux. Il est bien connu en effet que ce phénomène peut réduire la production d'une manière significative et accroître de façon substantielle les dépenses d’énergie et de maintenance. Le problème le plus typique est causé par des oxydes de fer associés o...

30 octobre 1986 Paru dans le N°104 à la page 55

On se souvient qu'en juillet 1976, une épidémie de pneumopathies aiguës et graves occasionnait plusieurs décès parmi les congressistes de l'American Legion réunis à l'hôtel Bellevue-Stratford de Philadelphie où se déroulait leur 58? Convention annuelle ; pour cette raison, la maladie fut appelée « Maladie du Légionnaire » (ou Légionnellose) et la bactérie responsable fut baptisée Legionn...

30 octobre 1986 Paru dans le N°104 à la page 58

De nombreuses industries : textiles, agro-alimentaires, chimiques, produits à base de ciment, papeteries, cuir, boissons..., rejettent des effluents basiques dont la neutralisation est progressivement imposée par la loi dans le cadre de la lutte antipollution, laquelle est fondée sur la norme française qui correspond à un pH compris entre 5,5 et 8,5....

30 octobre 1986 Paru dans le N°104 à la page 67

Le traitement de l’eau alimentaire des eaux des générateurs de vapeur doit être déterminé en tenant compte des caractéristiques analytiques admissibles pour l’eau au sein du générateur et de celles de l’eau d’appoint disponible. Il faut souvent tenir compte également du niveau de pureté exigé pour la vapeur. Or, depuis quelques années, par suite de l’installation de chaudières à haut tra...

30 octobre 1986 Paru dans le N°104 à la page 63

La nouvelle politique tarifaire d’E.D.F. a pour but, entre autres, d’inciter les industriels à adapter leur consommation aux disponibilités ; le prix de l’électricité est basé sur le type de centrales utilisé pour assurer la production à un moment donné. La tarification correspondant à une production essentiellement d’origine nucléaire pendant « l’été » (avril à octobre inclus), et surto...

30 septembre 1986 Paru dans le N°103 à la page 31

L'utilisation des techniques à membranes est devenue pratique courante dans certains domaines : milieu médical, production d'eau ultrapure pour l'industrie de l'électronique, recyclage en cours de process de fabrication, préparation de boissons, etc. Dans le secteur d’activité du traiteur d’eau, on ne pratique pas encore cette technique de façon courante et, en dehors de l’osmose inverse...

30 septembre 1986 Paru dans le N°103 à la page 45

Une des principales applications des cartouches de filtration est la protection des centrales de traitement d’eau et en particulier de leurs modules d’osmose inverse. Actuellement, la méthode la plus répandue pour analyser le pouvoir colmatant lié à la teneur en contamination particulaire et colloïdale de l’eau est la détermination de son indice de colmatage ou « fouling index » (voir an...

30 septembre 1986 Paru dans le N°103 à la page 28

Le choix des conditions de lavage d'un filtre bicouche sable-anthracite ou sable-charbon actif en grain implique la connaissance préliminaire des comportements des deux matériaux constituant le lit. C’est à partir de leurs caractéristiques que la détermination initiale du couple idéal sable-anthracite ou sable-charbon actif en grain pourra être faite. L’étude présentée ici a pour objet d...

30 septembre 1986 Paru dans le N°103 à la page 47

La plupart des prescripteurs publics et privés admettent que l’assainissement autonome constitue une solution économique pour le traitement des effluents dans les zones rurales et péri-urbaines ; or les techniques classiques se heurtent souvent dans leurs applications à des difficultés liées plus particulièrement à la nature des sols, à l’occupation excessive d’espace, et à l’obligation ...

30 septembre 1986 Paru dans le N°103 à la page 37

En raison de la contamination importante des eaux brutes en matières organiques et en micro-organismes, et principalement celle des eaux superficielles, les filières de traitement ont beaucoup évolué. Si l’on prend en compte les données sur les maladies infectieuses d’origine hydrique (dont la quasi-totalité est liée à des déficiences dans le traitement ou à l’absence de tout traitement ...

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 35

L'objectif de cet article est de présenter les mesures pratiques qui ont été adoptées au niveau du traitement des boues de la station d’épuration des eaux résiduaires de l'agglomération de Montpellier et de montrer qu’elles se traduisent par une optimisation du traitement de l’eau et par des gains économiques non négligeables vis-à-vis du coût global d’exploitation....

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 31

Le rejet des composés phénolés est strictement réglementé par les différentes législations relatives aux eaux résiduaires industrielles, en raison de leur toxicité et de la formation de composés d’addition tels que les chlorophénols lors des traitements de désinfection par le chlore. Les industries concernées par ces effluents sont principalement la sidérurgie, avec ses cokeries, mais au...

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 51

Les eaux pluviales ruisselant sur les chaussées (ou les parkings) sont évacuées par l’intermédiaire de caniveaux et « appareils d’absorption » (grilles, avaloirs) les dirigeant vers le réseau d’égouts souterrains. Le choix du nombre, de la disposition et du type de ces appareils d’absorption, en fonction de l’intensité des précipitations locales, des bassins versants et des surfaces à as...

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 39

Notre pays accuse un grave retard en matière de réseaux d'assainissement : en 1970, 6 % des eaux usées domestiques avaient fait l'objet d'un traitement d'épuration avant d'être rejetées dans la mer ou dans les rivières ; passé à 25 % en 1980, ce taux n'atteint aujourd'hui que 35 % (avec 45 % des habitants desservis) et le IX? Plan fixe un objectif modeste tendant à le porter à 50 % en 19...

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 60

Le refoulement de boues épaisses, c’est-à-dire de boues de curage déshydratées mécaniquement telles que tourteaux de filtration de décanteurs centrifuges, de filtres-presses à bande, filtres rotatifs à vide ou filtres-presses à chambres, pose souvent des problèmes dus à leur odeur, leur consistance pâteuse, aux ajouts abrasifs (sable, corps étrangers) et souvent aux exigences élevées con...

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 47

Dans pratiquement toutes les régions de France, à l’exception de quelques départements situés en bordure de la Méditerranée ou de l’Océan (lesquels ont cependant été touchés soit en 1985, soit en 1986), il est indispensable de prendre de sérieuses mesures de protection contre le gel lors de l’installation des compteurs d’eau de maisons individuelles....

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 72

Pierre-Percée, en Meurthe-et-Moselle, village pilote où comment le maire d'une petite commune tranquille de 80 habitants, confrontée, du jour au lendemain, à un avenir touristique imprévu, s'engage en priorité dans l'épuration de ses eaux usées en jouant à fond la carte de l'assainissement individuel......

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 47

Le traitement biologique des eaux résiduaires est une technique désormais très répandue et généralement bien maîtrisée. Il existe cependant des cas où la vie microbienne a du mal à s’acclimater ou est passagèrement contrariée et ne parvient pas à effectuer le travail de dégradation de la matière organique qui lui est demandé. Les activateurs biologiques permettent d'y remédier, ce que no...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 30

Il importe tout d’abord de redonner leur véritable signification à deux catégories de moteurs, lesquels sont proches — par leur définition — mais complètement éloignés, tant par leur conception que par leur utilisation. En effet, nombreux sont les exploitants qui confondent moteur immergé et moteur submersible, aussi un petit rappel s’impose....

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 25

Le Syndicat des Eaux d'Île-de-France (dont la Compagnie Générale des Eaux est le régisseur) regroupe 144 communes de la banlieue parisienne et dessert près de 4 000 000 d’habitants. C'est le troisième service de distribution d'eau européen après ceux de Londres et de Moscou. Son usine de Choisy-le-Roi, dont la capacité peut atteindre 800 000 m³/j, alimente en eau le secteur sud du syndic...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 41

Depuis toujours, les professionnels de la distribution des eaux sont attentifs au contrôle de l’aluminium dans les eaux potables distribuées à l’abonné. Bien que ce métal soit utilisé sous forme de sels dans les procédés de clarification lors du traitement des eaux (1), sa concentration dans l’eau potable n’a jamais été limitée par la réglementation française. Seule une directive de la C...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 53

Lors de la détermination de la section d'une canalisation de refoulement d'eaux usées, quatre paramètres doivent être pris en compte : — les coûts d'acquisition et de fonctionnement ; — le diamètre nécessaire au passage correct des corps solides ; — la vitesse minimale admissible pour éviter toute décantation ; — la vitesse maximale permettant d'éviter les coups de bélier. Nous examinero...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 56

Les expériences effectuées avec la pompe à chaleur solaire ont mis en valeur les performances obtenues par l'application de cette technique au chauffage des habitations : avec un coefficient de performance moyen qui peut dépasser trois, elle permet en effet d'abaisser le coût de l'énergie à un taux inférieur à celui de ses concurrents. Toutefois, le montant relativement élevé de l'invest...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 67

D’une capacité de plus de 40 000 m³, le réservoir surélevé de Talla, en Inde, sert de régulateur dans le système qui fournit à Calcutta 650 000 m³ d’eau potable par jour. Grâce à ce volant, des pointes horaires de 45 000 m³ peuvent être satisfaites quotidiennement, alors que l’usine de Palta débite moins de 30 000 m³ à l’heure et que trois réservoirs souterrains ont des capacités trop li...

30 avril 1986 Paru dans le N°100 à la page 51

Les solvants chlorés sont largement utilisés dans l'industrie ; toutefois, leur emploi n’est pas sans présenter des inconvénients et même des risques. Les problèmes posés sont maintenant largement analysés et ils ont conduit à une réglementation fixant les règles élémentaires de protection ; l'une d’elles interdit en particulier le rejet à l'égout d’effluents contenant des solvants chlor...

30 avril 1986 Paru dans le N°100 à la page 53

Les Pouvoirs publics se préoccupent activement des problèmes d’économie d’énergie et s’intéressent dans ce contexte aux questions de récupération de calories, entre autres celles perdues dans les circuits de refroidissement des centrales électriques et installations analogues, pour utilisation en chauffage....

30 avril 1986 Paru dans le N°100 à la page 25

L’évolution récente de l’usine de potabilisation d’eau de Seine de Choisy-le-Roi a amené l’introduction de plusieurs étapes dans la filière de traitement (figure 1), laquelle se termine maintenant par une ozonation et une filtration sur charbon actif en grains. La désinfection principale reste assurée grâce à une ozonation virulicide dont l’efficacité ne laisse qu’une faible probabilité ...