Alors que le département des Deux-Sèvres, dans sa partie granitique formant prolongement du Massif Armoricain, constitue une sorte de château d’eau régional, les eaux potables qui y étaient consommées jusqu’à ces dernières années provenaient de loin : au nord, de la Loire (180 km de canalisation) et à l’ouest, de retenues artificielles (le Mervent : 120 km de canalisation). Pour remédier...

