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Actualités sur EMO

Retrouvez jusqu'à 30 ans d'archives de la revue concernant EMO

30 octobre 1987 Paru dans le N°113 à la page 57

L’élimination de l’azote des eaux résiduaires se justifie par le fait que sa présence dans les eaux de surface nuit à la qualité du milieu récepteur (toxicité de l’ammoniac vis-à-vis des poissons) et que la nitrification de l’ammoniaque diminue la quantité d’oxygène dissous disponible dans la rivière ; en outre, elle rend plus coûteux les procédés permettant sa potabilisation. Parmi ceux...

30 juillet 1987 Paru dans le N°111 à la page 40

Les traitements assurant l’élimination conjointe des pollutions azotées et carbonées sont largement répandus pour l’épuration des eaux résiduaires industrielles. Les techniques en sont parfaitement maîtrisées et font appel notamment aux procédés à zone anoxie en tête (Nicol, 1985)... Récemment, l’attention s’est portée plus particulièrement sur le phosphore : ce composé est en effet un é...

30 avril 1987 Paru dans le N°109 à la page 38

Depuis quelques années, l’utilisation de l’ozone en tant qu’agent puissant d’oxydation et de désinfection connaît un développement important dans son domaine traditionnel, le traitement de l’eau, mais aussi hors de ce domaine comme réactif chimique dans diverses fabrications industrielles....

30 avril 1987 Paru dans le N°109 à la page 31

L’eau est une voie potentielle de transmission de maladies humaines d'origine virale ou bactérienne. La préoccupation principale des traiteurs d’eau est d’assurer et de maintenir une désinfection efficace des eaux destinées à l’alimentation humaine, non pas seulement au niveau de l’usine de traitement d’eau, mais également sur l’ensemble des réseaux de distribution. Pour atteindre ce but...

30 avril 1987 Paru dans le N°109 à la page 28

La première utilisation de l’ozone, dans le domaine de l’eau, remonte à 1886, un Français, De Meritens, ayant utilisé cet agent oxydant comme désinfectant (1). Dès 1906, la ville de Nice désinfecte à l’ozone l’eau de la rivière Vésubie. Dans les années 1965, une équipe de chercheurs français, dont le docteur Coin, définit les conditions d’application de l’ozone permettant de détruire le ...

30 avril 1987 Paru dans le N°109 à la page 62

26 novembre 1966... il y a vingt ans, c’était l’inauguration par le Général De Gaulle de la centrale marémotrice de la Rance. Dans quel état est-elle, après ces vingt années, a-t-elle rendu les services que l’on attendait d’elle et à quel prix ? quel avenir l’attend ? cette expérience mérite-t-elle d’être renouvelée ?...

30 mars 1987 Paru dans le N°108 à la page 75

L'usage de canalisations en matière plastique (ex : polyéthylène) pour la distribution de l'eau potable s'est rapidement développé au cours des dernières années (13). Leur utilisation croissante a été encouragée par divers facteurs : absence de corrosion, très bonnes propriétés mécaniques, facilité de manutention lors de la fabrication, et faible perméabilité à une contamination extérieu...

30 mars 1987 Paru dans le N°108 à la page 83

Observée depuis le début des années 60, l’élévation des teneurs en nitrates dans de nombreuses nappes souterraines pose d’importants problèmes aux responsables de la distribution d’eau de la plupart des pays développés. En fait, de récentes enquêtes épidémiologiques ont démontré que le risque de méthémoglobinémie chez le nourrisson absorbant de l’eau chargée en nitrates n’apparaissait qu...

30 septembre 1986 Paru dans le N°103 à la page 37

En raison de la contamination importante des eaux brutes en matières organiques et en micro-organismes, et principalement celle des eaux superficielles, les filières de traitement ont beaucoup évolué. Si l’on prend en compte les données sur les maladies infectieuses d’origine hydrique (dont la quasi-totalité est liée à des déficiences dans le traitement ou à l’absence de tout traitement ...

30 juillet 1986 Paru dans le N°102 à la page 31

Le rejet des composés phénolés est strictement réglementé par les différentes législations relatives aux eaux résiduaires industrielles, en raison de leur toxicité et de la formation de composés d’addition tels que les chlorophénols lors des traitements de désinfection par le chlore. Les industries concernées par ces effluents sont principalement la sidérurgie, avec ses cokeries, mais au...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 47

Le traitement biologique des eaux résiduaires est une technique désormais très répandue et généralement bien maîtrisée. Il existe cependant des cas où la vie microbienne a du mal à s’acclimater ou est passagèrement contrariée et ne parvient pas à effectuer le travail de dégradation de la matière organique qui lui est demandé. Les activateurs biologiques permettent d'y remédier, ce que no...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 41

Depuis toujours, les professionnels de la distribution des eaux sont attentifs au contrôle de l’aluminium dans les eaux potables distribuées à l’abonné. Bien que ce métal soit utilisé sous forme de sels dans les procédés de clarification lors du traitement des eaux (1), sa concentration dans l’eau potable n’a jamais été limitée par la réglementation française. Seule une directive de la C...

29 mai 1986 Paru dans le N°101 à la page 56

Les expériences effectuées avec la pompe à chaleur solaire ont mis en valeur les performances obtenues par l'application de cette technique au chauffage des habitations : avec un coefficient de performance moyen qui peut dépasser trois, elle permet en effet d'abaisser le coût de l'énergie à un taux inférieur à celui de ses concurrents. Toutefois, le montant relativement élevé de l'invest...

30 avril 1986 Paru dans le N°100 à la page 31

L’industrie des semi-conducteurs nécessite depuis longtemps de l’eau ultra-pure chimiquement, physiquement et biologiquement ; cependant, l’accroissement très rapide des capacités des mémoires (on est parti de 1 K-bit chips en 1970 à 256 K-bit chips actuellement, et le 1 M-bit chips est en cours de réalisation) a provoqué des exigences de plus en plus draconiennes sur la qualité de l’eau...

30 mars 1986 Paru dans le N°99 à la page 33

La pollution des eaux souterraines par les hydrocarbures chlorés (solvants chlorés), constatée pour la première fois en RFA à la fin de la précédente décennie, a conduit quelques distributeurs d’eau potable, soit à interrompre les prélèvements, soit à traiter l'eau avant distribution. Cette situation, qui paraissait spécifique à la RFA, s’est par la suite étendue à d'autres pays européen...

30 mars 1986 Paru dans le N°99 à la page 78

« Quel gâchis ! » Martin Pochon, frais émoulu de l'ECAM (une école d’ingénieurs) de Lyon, ne peut réprimer son étonnement. Comment accepter de voir un fleuve puissant traverser des paysages brûlés par le soleil ? Comment concevoir que, près d'une rivière, la terre ne soit ni irriguée ni cultivée ? C'est pourtant le cas des rives du Chari à Sahr, dans le sud du Tchad....

30 mars 1986 Paru dans le N°99 à la page 50

Créée en 1943, la Société des Eaux de Marseille a entrepris dès 1945, sur la base des plans d'urbanisme, l'élaboration du plan directeur de la distribution de l'eau de la ville de Marseille qui avait accumulé dans ce domaine un retard considérable et dont l'expansion démographique était déjà prévisible. Ce schéma a servi de base pendant de longues années à la modernisation et à l'évoluti...

30 janvier 1986 Paru dans le N°97 à la page 49

La mise en décharge de résidus urbains et de certains déchets industriels constitue, souvent, la solution économiquement la plus intéressante et techniquement la plus simple ; l'un des inconvénients majeurs de cette technique est de pouvoir conduire à la production de lixiviats. Confrontés à ce problème, les Ets Genet « Ordures Service » ont demandé au laboratoire central de la Lyonnaise...