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89 - Eau et chaleur

janvier-février 1985
Articles dans ce numéro
28 février 1985 Paru dans le N°89 à la page 17

Le stockage des fluides dans des réservoirs, comme celui de matériaux pulvérulents placés dans les mêmes conditions, pose un problème de régulation des niveaux supérieur et inférieur qui ne peut être résolu que de façon automatique, au moyen d'un système offrant une précision satisfaisante et une régularité parfaite. Le plus souvent, il s'agit de commander l'arrêt ou la marche de pompes ...

28 février 1985 Paru dans le N°89 à la page 19

La ville de Clichy-sous-Bois a décidé en 1979 de réaliser une opération de géothermie en vue d’assurer le chauffage d’ensembles d’habitation, d’équipements annexes (cuisine centrale, maternelle, gymnase) et de la mairie, représentant au total 3 400 équivalent-logements....

28 février 1985 Paru dans le N°89 à la page 22

Adaptée, compétitive et fiable, la géothermie, énergie pionnière du début des années 80 a acquis en moins de cinq ans ses titres de noblesse. En effet, ce sont plus de 120 000 T.E.P. qui sont maintenant économisées chaque année par la géothermie, cela grâce à la réalisation des opérations dénombrées comme suit :...

28 février 1985 Paru dans le N°89 à la page 25

De 1973 à 1982, l'implantation des pompes à chaleur eau/eau sur le marché français a connu une croissance quasi exponentielle. On en comptait moins de 2 000 installées en 1978 ; ce nombre a dépassé 8 000 en 1980 pour approcher les 25 000 en 1982....

28 février 1985 Paru dans le N°89 à la page 37

Dans le domaine de la déminéralisation des eaux d’appoint de chaudières, la régénération à contre-courant a fait ses preuves depuis longtemps, tant du point de vue de l'économie de réactifs que du point de vue de la qualité de l'eau traitée et de la fiabilité de l’exploitation. Dans de nombreux cas, on a ainsi pu éviter d’avoir à prévoir des lits mélangés de finition. Cette technique a d...

28 février 1985 Paru dans le N°89 à la page 41

On sait que toute surface métallique d’usage industriel courant telle que l’acier, l’acier galvanisé, le cuivre et ses alliages, l’aluminium — pour ne citer que les plus employés — est soumise, au contact de l’eau, à des phénomènes de corrosion ; ceux-ci sont d’autant plus importants et cumulatifs que les caractéristiques des eaux sont variables et évolutives, et que les apports d’eau no...