À Dinard (Ille-et-Vilaine), station balnéaire très fréquentée, un bassin tampon de 2 000 m³ situé directement en front de mer faisait l’objet de plaintes récurrentes depuis des années en raison des odeurs, malgré des interventions d’urgence intensives chaque été. « Ce site était prioritaire dès le mois de juin.
Nous mobilisions deux camions hydrocureurs de 26 tonnes et quatre techniciens à chaque opération, face à une plage bondée et des commerces sensibles », se souvient Thomas Corlouer, aujourd’hui directeur chez Aleph. Depuis 2022, une solution alternative a été mise en place avec deux modules de traitement Aleph. Grâce à un débit de traitement optimisé à 2 000 m3 /h — contre 10 000 m3 /h auparavant — et sans besoin de dilution de l’air vicié, cette technologie permet une désodorisation efficace sans consommables, sans produits chimiques, et avec une consommation énergétique réduite.
« Nos systèmes fonctionnent en recirculation et abattent en un seul passage les COV, le H2 S, l’ammoniac, les mercaptans, tout en apportant une biosécurité supplémentaire grâce à la destruction simultanée des germes et virus », précise Thomas Corlouer. Compacte (1 m2 au sol, sans génie civil), la solution se distingue par sa frugalité et son adaptabilité, en phase avec les exigences environnementales actuelles.
