La réglementation évolue rapidement et impose aux collectivités de se préparer à intégrer de nouveaux paramètres dès 2026 : PFAS, microcystine-LR, bisphénol A ou encore métabolites de pesticides. Pour de nombreux maîtres d’ouvrage, notamment de taille moyenne, la question n’est pas seulement technique : il s’agit de trouver des solutions soutenables économiquement et simples à exploiter », constate Christophe Mechouk, directeur Marché Eau potable chez Sources
La société intervient précisément à cette échelle avec une approche reposant sur la sobriété : connaître finement la ressource, dimensionner la filière au plus juste, puis intégrer des procédés spécifiques lorsque la pollution l’exige. Ce pragmatisme se traduit par des choix adaptés, qu’il s’agisse de charbon actif, de résines échangeuses ou de membranes. « L’important est de sécuriser le choix dès l’amont grâce à des essais pilotes, de plus en plus demandés par les collectivités. Notre procédé Carbocycle, basé sur un lit fluidisé de micro-granulés de charbon actif, illustre cette philosophie : une solution performante, sans filtre aval, réduisant l’empreinte hydraulique et facilitant l’exploitation. Ce type d’innovation répond non seulement aux PFAS mais aussi aux métabolites de pesticides, avec des coûts maîtrisés », poursuit Christophe Mechouk. Les défis à venir ne concernent pas uniquement les grands réseaux urbains. Les petites et moyennes collectivités doivent elles aussi être accompagnées avec des filières compactes, automatisées et évolutives. Sources fournit des solutions robustes et durables, capables de répondre aux contraintes réglementaires d’aujourd’hui et aux enjeux émergents de demain.
