Guide des Nouveautés Techniques 2026
Les analyses olfactométriques se sont installées dans le milieu de l’environnement depuis une trentaine d’années et sont aujourd’hui au cœur de la réglementation sur les nuisances odorantes. Si leurs données sont des informations utiles pour traduire les potentiels impacts sur le voisinage, elles restent néanmoins incomplètes dans l’hypothèse d’une explication du pouvoir odorant d’une part et de l’orientation vers une solution de remédiation. C’est pourquoi une analyse complémentaire destinée à identifier et quantifier des molécules présentes peut s’avérer nécessaire. C’est l’objet de cette prestation qui associe des compétences pluridisciplinaires.
Cette opération se fonde sur le prélèvement d’un échantillon (dont le choix s’inscrit également dans une stratégie prédéterminée) qui servira tout autant pour déterminer ses paramètres odorants (persistance et acceptabilité) que la description la plus exhaustive possible des molécules présentes. L’analyse de l’odeur se fait à l’aide d’un olfactomètre à dilution dynamique alors que l’identification des composés est obtenue à l’aide d’une analyse chromatographique couplée à une spectrométrie de masse. Ces deux opérations se tiennent en laboratoire dans le sein de l’IMT Mines Alès.
Cette prestation peut s’inscrire dans une recherche des molécules dont les pouvoirs odorants seraient à l’origine de la nuisance établie par exemple. Plus souvent, elle est dictée par le besoin d’une solution de remédiation qui nécessite, avant toute suggestion, de déterminer le cahier des charges d’un futur système de traitement ; affichant les concentrations et les natures des composés à traiter au regard des résultats attendus. En effet, toute solution de traitement ne peut s’affranchir de la détermination de la nature des effluents et de la charge entrante.
Cette opération se fonde sur le prélèvement d’un échantillon (dont le choix s’inscrit également dans une stratégie prédéterminée) qui servira tout autant pour déterminer ses paramètres odorants (persistance et acceptabilité) que la description la plus exhaustive possible des molécules présentes. L’analyse de l’odeur se fait à l’aide d’un olfactomètre à dilution dynamique alors que l’identification des composés est obtenue à l’aide d’une analyse chromatographique couplée à une spectrométrie de masse. Ces deux opérations se tiennent en laboratoire dans le sein de l’IMT Mines Alès.
Cette prestation peut s’inscrire dans une recherche des molécules dont les pouvoirs odorants seraient à l’origine de la nuisance établie par exemple. Plus souvent, elle est dictée par le besoin d’une solution de remédiation qui nécessite, avant toute suggestion, de déterminer le cahier des charges d’un futur système de traitement ; affichant les concentrations et les natures des composés à traiter au regard des résultats attendus. En effet, toute solution de traitement ne peut s’affranchir de la détermination de la nature des effluents et de la charge entrante.
