La nouvelle gamme de débitmètres électromagnétiques Admag de Yokogawa a été développée dans la philosophie « Total Insight », un concept qui s'articule autour de 6 points clefs qui ne reposent pas uniquement sur un bouleversement de la façon de mesurer le débit, même si une amélioration de la précision est à noter (± 0,2% à ± 0,15% à 1 µs/cm).
Outre la prise en compte des nouvelles normes et standards, ils se traduisent par l’exploitation des grandeurs physiques mesurées qui n'avaient auparavant pour unique but que d'avoir la meilleure mesure de débit possible, et qui, désormais, apportent une information exploitable sur l'état de l'appareil et du process.
Les 6 points clefs de la gestion du cycle de vie du débitmètre sont les suivants :
Engineering & achat : comment être certain de faire le bon choix ?
Installation & configuration : comment paramétrer correctement l'appareil ?
Opération & observation : est-ce que mon process subit des changements/évolutions ?
Maintenance et recalibration : puis-je encore me fier à la mesure ?
Service & réparation : dois-je compter sur l'intervention d'un technicien pour résoudre mon problème ?
Modification et optimisation : ai-je besoin de racheter un nouvel appareil quand je cherche une nouvelle fonction ?
Même si tous ses points ont leur importance, le quatrième, relatif à la maintenance et à la recalibration est, pour Yokogawa, emblématique de la façon dont les capteurs seront exploités à l'avenir.
« En effet, l'ensemble des signaux remontés, jusqu'alors uniquement dédiés à la mesure du débit quelles que soient les conditions process, est aujourd'hui analysé et apporte un diagnostic précis sur l'état du circuit magnétique, du circuit d'excitation, du circuit de calcul, de l'intégrité de l'appareil et de son câblage, explique-t-on chez Yokogawa. Cette auto-vérification de l'appareil apporte une réelle autonomie à l'utilisateur et permet d'éviter des coûts de maintenance liés à l'intervention d'un spécialiste ou à un passage sur banc de calibration/d'essais. Les frais engendrés par un montage/démontage, par l’intervention d'un technicien, le transport de l'appareil, le coût d'un passage sur banc et d'indisponibilité de l'installation peuvent vite être largement supérieurs au prix d'achat d'un débitmètre neuf, et cela sans avoir eu un diagnostic clair et la garantie que le problème ne se reproduira pas. Si l'on ajoute à cela que la grande majorité des passages sur banc se traduisent par un constat de bon fonctionnement et que la problématique constatée n'était qu'en fait une modification temporaire des conditions de process, il est légitime de s'interroger sur la façon dont étaient analysés ces dysfonctionnements et de regarder avec intérêt les informations qu'il est aujourd'hui possible d'extraire de la masse de données traitées par nos capteurs. En tant que fournisseur, nous sommes en capacité aujourd'hui de fournir plus qu'une mesure précise, une solution à un besoin de maîtrise des process, quelle que soit la situation rencontrée et un diagnostic rapide et pertinent ».
Outre la prise en compte des nouvelles normes et standards, ils se traduisent par l’exploitation des grandeurs physiques mesurées qui n'avaient auparavant pour unique but que d'avoir la meilleure mesure de débit possible, et qui, désormais, apportent une information exploitable sur l'état de l'appareil et du process.
Les 6 points clefs de la gestion du cycle de vie du débitmètre sont les suivants :
Engineering & achat : comment être certain de faire le bon choix ?
Installation & configuration : comment paramétrer correctement l'appareil ?
Opération & observation : est-ce que mon process subit des changements/évolutions ?
Maintenance et recalibration : puis-je encore me fier à la mesure ?
Service & réparation : dois-je compter sur l'intervention d'un technicien pour résoudre mon problème ?
Modification et optimisation : ai-je besoin de racheter un nouvel appareil quand je cherche une nouvelle fonction ?
Même si tous ses points ont leur importance, le quatrième, relatif à la maintenance et à la recalibration est, pour Yokogawa, emblématique de la façon dont les capteurs seront exploités à l'avenir.
« En effet, l'ensemble des signaux remontés, jusqu'alors uniquement dédiés à la mesure du débit quelles que soient les conditions process, est aujourd'hui analysé et apporte un diagnostic précis sur l'état du circuit magnétique, du circuit d'excitation, du circuit de calcul, de l'intégrité de l'appareil et de son câblage, explique-t-on chez Yokogawa. Cette auto-vérification de l'appareil apporte une réelle autonomie à l'utilisateur et permet d'éviter des coûts de maintenance liés à l'intervention d'un spécialiste ou à un passage sur banc de calibration/d'essais. Les frais engendrés par un montage/démontage, par l’intervention d'un technicien, le transport de l'appareil, le coût d'un passage sur banc et d'indisponibilité de l'installation peuvent vite être largement supérieurs au prix d'achat d'un débitmètre neuf, et cela sans avoir eu un diagnostic clair et la garantie que le problème ne se reproduira pas. Si l'on ajoute à cela que la grande majorité des passages sur banc se traduisent par un constat de bon fonctionnement et que la problématique constatée n'était qu'en fait une modification temporaire des conditions de process, il est légitime de s'interroger sur la façon dont étaient analysés ces dysfonctionnements et de regarder avec intérêt les informations qu'il est aujourd'hui possible d'extraire de la masse de données traitées par nos capteurs. En tant que fournisseur, nous sommes en capacité aujourd'hui de fournir plus qu'une mesure précise, une solution à un besoin de maîtrise des process, quelle que soit la situation rencontrée et un diagnostic rapide et pertinent ».