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L'Institut National de la Recherche Agronomique et la Côte Basque préparent le 23ème congrès

28 avril 1978 Paru dans le N°24 à la page 32 ( mots)
Rédigé par : Jacques LECOMTE

par Jacques LECOMTE, Chef du Département.

L'INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE ET LA CÔTE BASQUE préparent le XXIIIᵉ congrès national de l'Association Française de Limnologie, à Biarritz (22-25 mai 1978)

[Photo : La Nivelle à Saint-Pée.]

Le XXIIIᵉ Congrès National de l’A.F.L. se tiendra à BIARRITZ du 22 au 25 mai 1978. Il succède à celui de METZ 1977 dont l’organisation avait été confiée à l’Institut Européen d’Écologie et à l’U.E.R. d’Écologie. La ville de BIARRITZ, dont la vocation touristique est ancienne et qui, par son dynamisme et son attrait, est devenue une ville de congrès, accueillera les principaux travaux en salle.

par , Chef du Département.

LES PROBLÈMES

Les domaines qui peuvent être considérés comme de la compétence du département d’Hydrobiologie sont extraordinairement nombreux et variés ; nous verrons d’ailleurs par la suite que seuls certains d’entre eux ont pu être abordés.

On peut cependant classer ces différents sujets d’étude en deux catégories qui non seulement ne s’opposent pas, mais doivent souvent être considérés comme complémentaires.

Très schématiquement nous pouvons ainsi distinguer d’une part le maintien ou l’amélioration de la qualité et de la productivité des milieux aquatiques, d’autre part la production plus ou moins intensive de poissons ou d’autres organismes aquatiques.

D’un côté environ cinq millions de pêcheurs et d’innombrables usages de l’eau, depuis la boisson, la baignade et le tourisme jusqu’aux usages industriels. De l’autre côté, un déficit de notre balance commerciale de l’ordre de 300 millions de F qui ne peut que croître si l’aquaculture ne se développe pas régulièrement. Enfin il faut ajouter à ce domaine de l’eau douce celui des eaux marines pour lequel l’I.N.R.A. est sollicité du fait de ses compétences en matière d’élevage et de recherche fondamentale.

LES MOYENS

Le Département d'Hydrobiologie dispose de 30 scientifiques, de 10 ingénieurs et de 65 techniciens et agents administratifs.

Les implantations actuelles sont situées à THONON (74), BIARRITZ-SAINT-PEE (64), JOUY-EN-JOSAS (78), RENNES (35) ainsi qu’à la GUADELOUPE.

En 1977, le Département a disposé d’un budget de fonctionnement d’environ 1 500 000 francs et d'un budget d’équipement de 560 000 francs. Les salaires ne sont pas compris dans ce budget, pas plus que les constructions, et il convient d’y ajouter les ressources provenant de contrats.

D’autre part, il est nécessaire de souligner que le Département bénéficie de l'infrastructure et de l'appui technique et scientifique de l'ensemble de l'I.N.R.A., établissement qui compte en 1977 environ 7 000 agents dont 1 100 scientifiques.

En particulier, il faut rappeler l'existence du Laboratoire d’Ichtyopathologie dépendant du Département de recherches vétérinaires et celui de la Station de recherches de pathologie comparée du Département de Zoologie.

LES ÉTUDES EN COURS

Parmi les problèmes sommairement présentés tout à l’heure, il a été évidemment nécessaire de faire des choix. Ces choix tiennent compte de nombreux facteurs, par exemple de l'intérêt manifesté par des demandeurs à l'extérieur de l'I.N.R.A. Il existe aussi des raisons historiques liées à la formation des chercheurs et l'implantation géographique des laboratoires conditionne également les choix effectués. Ces orientations scientifiques sont coordonnées par le chef du Département assisté d'un Conseil scientifique.

[Photo : Document établi à partir de la « Carte piscicole des cours d'eaux du bassin de l'Adour-Béarn et Pays Basque ».]
[Photo : Installations expérimentales pour l'étude génétique des salmonidés.]

Pour des raisons de commodité, nous parlerons des programmes en les présentant dans le cadre des implantations. Nous précisons d’ailleurs qu'il ne s’agit pas d'une liste exhaustive mais seulement des lignes de force des recherches actuelles et d'une indication des options qui seront vraisemblablement prises dans un proche futur.

LA STATION D’HYDROBIOLOGIE LACUSTRE DE THONON

Dirigée par M. P. LAURENT, cette station étudie de manière générale les problèmes posés par les eaux douces stagnantes et plus particulièrement ceux des lacs subalpins. Les conséquences des activités humaines : pollution et fertilisation excessive (eutrophisation) sont étudiées ainsi que les moyens de prévenir ou de pallier ces nuisances. Parmi les recherches les plus importantes, on trouve celles concernant la productivité primaire des eaux, c’est-à-dire la production de phytoplancton et la relation entre cette productivité et l'eutrophisation, l’écophysiologie des algues considérées comme indésirables, par exemple Oscillatoria rubescens, et leur élimination éventuelle. La restauration des lacs est envisagée d'un triple point de vue. D’une part, des études sur la possibilité d'interventions physico-chimiques sur le sédiment et l’eau avec mise au point d’une technologie appropriée ; d’autre part, le rôle du zooplancton et de la faune supérieure vis-à-vis de la productivité primaire ; et enfin, le rôle des végétaux supérieurs (roseaux par exemple) considérés comme dispositifs épurateurs. L’estimation de la biomasse totale des poissons lacustres par écho-intégration fait l'objet d'une mise au point en collaboration avec l'O.R.S.T.O.M. et l'I.S.T.P.M. Enfin, des recherches sur l’Omble-chevalier, poisson propre au milieu lacustre, sont en cours et des recherches sur l'écophysiologie de l'écrevisse sont envisagées.

La Station joue de plus un rôle de surveillance et de conseil pour différentes conséquences des nuisances précitées.

LA STATION D’HYDROBIOLOGIE DE SAINT-PEE-SUR-NIVELLE (Pyrénées-Atlantiques)

Administrée par M. P. LAMARQUE, elle était récemment en grande partie installée à BIARRITZ. Outre les installations de SAINT-PEE, elle compte deux piscicultures périphériques : LESS-ATHAS (64) et DONZACQ (40).

Cette Station comprend plusieurs laboratoires qui sont :

Le laboratoire d’écologie des poissons et d’aménagement des pêches.

Dirigé par M. P. DAVAINE, ce laboratoire étudie les relations entre les invertébrés et les poissons sur le plan alimentaire en prenant comme exemples des cours d’eau à truite. Le comportement des poissons, salmonidés, est étudié au niveau de la compétition et de l'établissement du territoire, en fonction des facteurs écologiques.

La démographie des poissons fait l'objet d'études approfondies tant sur des rivières à truite de la région que dans les rivières de l'archipel des Kerguelen. Ces études sont reliées à des études d’aménagement destinées à améliorer la capacité d'accueil et de productivité des eaux courantes.

Les conditions d’élevage de saumon et de truite avec contrôle de la qualité des produits font l'objet de recherches approfondies.

Enfin un programme de génétique, qui sera développé ultérieurement, a pour but actuel de définir des critères de sélection pour l'amélioration de truites et d’autres salmonidés destinés à l’élevage ou au repeuplement.

Le laboratoire de méthodologie des inventaires.

Dirigé par M. P. LAMARQUE, ce laboratoire a mis au point une série très complète d’appareils de pêche électrique opérationnels dans des eaux de caractéristiques physicochimiques très variées. Il étudie les méthodes permettant de préciser l’âge des poissons, anguilles en particulier. Enfin, il se préoccupe du traitement informatique du résultat des inventaires.

Le laboratoire de nutrition des poissons.

Ce laboratoire, dirigé par M. P. LUQUET, a été transféré de JOUY-EN-JOSAS en 1977 ; il a englobé le laboratoire des micro-organismes (M. R. LESEL).

Le principal objectif de ce laboratoire est de déterminer les besoins alimentaires des poissons et les modalités préférentielles de leur couverture. Les principaux thèmes de recherche sont : la nutrition protéique, énergétique (rôle des glucides et des lipides) et l'utilisation des caroténoïdes. Des études analytiques des processus digestifs et métaboliques en relation avec les facteurs de milieu sont également poursuivies. De même sont effectuées des recherches concernant le comportement alimentaire, sur la possibilité d'utiliser des aliments artificiels pour nourrir des carnassiers.

[Photo : Appareil pour l'étude du transit digestif chez la truite.]

Ces différents travaux concernent la truite mais aussi le brochet et différents poissons marins.

Par ailleurs, des études sont poursuivies sur les micro-organismes faisant partie de l'environnement du poisson. En particulier, l'étude des micro-organismes du tube digestif sera développée.

Le laboratoire de physiologie des poissons.

Dirigé par M. R. BILLARD, ce laboratoire est situé à JOUY-EN-JOSAS mais est en cours de décentralisation à RENNES où se trouve déjà une première équipe.

Les recherches sont axées sur la reproduction des poissons et comportent notamment des études fondamentales des systèmes endocriniens et neuroendocriniens concernés ainsi que de la gamétogenèse. Des recherches plus appliquées sur l'insémination artificielle, la conservation des gamètes durant de longues périodes, le contrôle du sexe et l'effet de facteurs de milieu sur la reproduction sont également effectuées, de même qu'une étude technologique des conditions d’élevage.

Par ailleurs, il existe un programme génétique comprenant plusieurs volets : génétique quantitative, méthodes de sélection et génétique biochimique.

Le problème de l'osmorégulation chez des espèces migratrices est également considéré.

Les espèces étudiées sont essentiellement la truite, le saumon, la carpe et le brochet. Mais il faut noter qu'une partie croissante des activités du laboratoire concerne des espèces marines : bar, daurade, turbot. Ces recherches sont effectuées en liaison avec le C.N.E.X.O. Une extension à d’autres groupes zoologiques, par exemple la grenouille, est envisagée.

Laboratoire d’écologie hydrobiologique.

Ce laboratoire situé à RENNES est dirigé par M. M. THIBAULT (E.N.S.A.R.). Ses activités sont tournées vers l'étude des populations de salmonidés des rivières bretonnes, de leur écologie et de l'aménagement de ces rivières. Un programme concernant les étangs et zones humides vient d’être mis en place.

Laboratoire d'hydrobiologie du centre de recherches des Antilles.

Ce laboratoire créé récemment en GUADELOUPE est dirigé par M. Y. THEREZIEN. Il est concerné par la biologie et l’élevage des chevrettes d'eau douce et différents problèmes d'hydrobiologie tropicale.

[Photo : Vue générale de la Station (légende illisible).]
[Photo: Pêche à l'électricité.]

Conclusions.

Malgré un potentiel scientifique et technique non négligeable, le Département d’Hydrobiologie n’est pas en mesure de répondre à la totalité des questions qui lui sont posées, compte tenu de leur nombre et de la nécessaire continuité des programmes précédemment adoptés. Cependant une évolution est souhaitable et parmi les infléchissements à prévoir, outre le domaine marin pour lequel nous jouerons un rôle important au niveau de la recherche fondamentale, nous envisageons une diversification des espaces et des milieux étudiés.

Alors qu'une grande partie des recherches actuelles est tournée vers l’étude des lacs et des rivières à salmonidés, nous commençons à porter de plus en plus notre effort vers les étangs, les zones humides et les rivières de seconde catégorie, ainsi que vers les espaces caractéristiques de ces milieux.

Un second souci sera de ne pas négliger l'un ou l'autre des domaines définis au début de cette présentation, domaines que l'on peut définir grossièrement par protection et production. Nous chercherons au contraire à rendre ces deux axes complémentaires, en cherchant à augmenter la productivité naturelle de certains milieux en leur assurant la meilleure protection et à mettre au service de l'aménagement les connaissances fondamentales ou appliquées acquises lors de recherches sur l’aquaculture.

En particulier les travaux de génétique devront tenir compte de ces diverses exigences.

J. LECOMTE.

LE CENTRE DE RECHERCHES HYDROBIOLOGIQUESDE SAINT-PÉE-SUR-NIVELLE

[Photo: Le centre de recherches hydrobiologiques de Saint-Pée-sur-Nivelle.]

ÉTAT DE DÉVELOPPEMENT DU CENTRE

Il regroupe actuellement une soixantaine d'agents dont 18 chercheurs (scientifiques et ingénieurs) et dispose de 4 implantations :

— BIARRITZ, où un bâtiment à usage de bureaux et laboratoires achevé de construire en 1968 sur le Plateau de l’Atalaye, constituait jusqu'à présent la résidence professionnelle de la plupart des effectifs. Les trois équipes de recherche et les services administratifs qui y étaient basés sont en cours de transfert à Saint-Pée-sur-Nivelle.

— SAINT-PÉE-SUR-NIVELLE qui, désormais, est la principale composante du Centre sur un domaine de 13 ha situé à Ibarron ; 3 500 m² de laboratoires et de bâtiments expérimentaux sont terminés ou en cours d’achèvement, 2 ha d’installations expérimentales fonctionnent depuis quelques années, alimentées en eau de la Nivelle.

— LÉES-ATHAS, pisciculture expérimentale d’un hectare environ sur la route du Somport, qui dispose — été comme hiver — d'une eau de source à 8 °C.

— DONZACQ, pisciculture expérimentale de 2 ha environ située à proximité d’Orthez et alimentée par une source à la température constante de 17 °C.

Une telle infrastructure qui offre déjà des possibilités d’expérimentation multiples, notamment du fait de la diversité des sites, bénéficie par ailleurs de nombreuses facilités dans la région quant à l’application des recherches en milieu naturel. L'usage à des fins expérimentales de plusieurs plans d’eau est en effet accordé à l'INRA par les Associations de Pêche et de Pisciculture locales (APP), en particulier par celle de la Nivelle et de la Nive.

PROGRAMMES DE RECHERCHE

Ils sont actuellement orientés pour l'essentiel vers l'étude de la biologie et de l'aménagement des cours d’eau à salmonidés.

— Écologie des cours d’eau : les recherches écologiques visent à établir un diagnostic de l'état général d’un milieu (notamment en matière de physico-chimie et de biologie) pour en déduire des directives d’aménagement adaptées à une amélioration piscicole.

Depuis plusieurs années, des méthodes et des appareillages sont mis au point pour étudier les populations correspondant aux divers stades de la vie : microorganismes, invertébrés, poissons. En particulier, une gamme très complète d’appareils de pêche électrique conçus et construits à Biarritz permet d'inventorier les populations de poissons dans de nombreux types de plans d'eau.

Actuellement, ces travaux aboutissent à des propositions d’aménagement qui, pour certaines d’entre elles, ont été concrétisées sur le terrain ; il s’agit de travaux d’amélioration de petits cours d'eau réalisés avec l'aide des APP de la Nivelle et de la Nive. Par ailleurs, des méthodes d’évaluation globale de la pollution sont élaborées en utilisant le poisson comme indicateur.

— Recherche sur les poissons de repeuplement : le repeuplement est un aspect essentiel de l’aménagement des cours d'eau. C'est pourquoi des spécialistes de tous horizons (écologistes, généticiens, nutritionnistes) engagent des travaux importants dans le but de fournir des poissons de repeuplement de qualité, c’est-à-dire des poissons aptes à survivre de la meilleure façon et à se reproduire en milieu sauvage.

L’application de ces études est menée à grande échelle dans le bassin de la Nivelle avec l'entière collaboration de l’APP locale.

— Repeuplement de la Nivelle en saumons : l’effort particulier qui y est consacré mérite d’être souligné. Depuis 6 ans, avec le soutien financier de l'État, d’importants contingents de jeunes saumons élevés dans la pisciculture de Saint-Pée-sur-Nivelle sont libérés.

Ces travaux se sont concrétisés par le déversement dans la Nivelle de 12 000 smolts de 1972 à 1975, près de 9 000 smolts pour le seul printemps 1976, et 10 500 pour 1977. Cette même année, 52 saumons de remontée ont été contrôlés. Parmi ceux-ci, 30 étaient d’élevage, soit 57 % du total. Ces résultats montrent le bien-fondé de ce programme et suscitent des espoirs considérables pour la restauration des populations de saumons dans l'avenir.

Parallèlement, dans le cadre du plan « Saumon », des travaux d'aménagement de la Nivelle vont être entrepris en vue de rétablir les migrations de saumons.

Cet ensemble de mesures devrait être de nature à restaurer la population de saumons de la Nivelle.

LE XXIIIe CONGRÈS DE L’A.F.L. À BIARRITZ

Ainsi donc sont définis le cadre et les hôtes de ce XXIIIe Congrès National de l'Association Française de Limnologie à Biarritz. Le programme est établi, bien qu'il soit susceptible de quelques aménagements ou modifications de dernière heure.

Programme du congrès A.F.L. de Biarritz du 22 au 25 mai 1978

Lundi 22 mai 1978

8 h – 12 h  Accueil des congressistes dans le hall de l’hôtel du Palais à Biarritz  
9 h 15        Départ du parking de l’hôtel du Palais pour Saint-Pée-sur-Nivelle par car et véhicules personnels  
10 h – 12 h  Visite du Centre de Recherches hydrobiologiques de l’I.N.R.A. à Saint-Pée-sur-Nivelle  
12 h           Réception à la mairie de Saint-Pée-sur-Nivelle  
12 h 30 – 14 h  Déjeuner  
14 h 15 – 17 h 15  Tables rondes au Centre de Recherches  
17 h 30 – 18 h  Retour en car à Biarritz  
18 h – 18 h 30  Réception au Musée de la Mer de Biarritz offerte par la Société des Amis du Musée  
21 h 30 – 22 h  Spectacle « Son et Lumière » offert par la Ville de Biarritz

Mardi 23 mai 1978

« Sortie sur le terrain » — Organisation de deux groupes d’environ 70 personnes

— Visite de la pisciculture de Mézos (Landes) (truiticulture)

— Visite de l'étang de Léon et du courant d’Huchet (Landes)

Les deux groupes alterneront leurs visites entre le matin et l'après-midi

8 h              Départ en car du parking de l’hôtel du Palais, arrivée vers 10 h  
12 h 30 – 14 h  Déjeuner avec commentaire général sur les conditions de production de type extensif et intensif  
17 h – 19 h     Fin des visites et retour à Biarritz  
21 h             Soirée-débat : « L’eau et l’Homme » avec le soutien du B.N.L.S.T. (ministère de la Recherche et de l’Industrie) et de l’A.D.A.C. (Ville de Biarritz)

Mercredi 24 mai 1978 à l’hôtel du Palais

8 h 30 – 9 h 30  Réunion du Conseil  
9 h 30 – 12 h    Assemblée générale — Rapports divers — Élection des membres du nouveau Conseil  
                 Début de l’exposition des « posters » et de l’exposition de matériels hydrobiologiques et limnologiques  
12 h – 12 h 30   Réception offerte par la municipalité de Biarritz dans les salons de l’hôtel du Palais  
12 h 30 – 14 h   Déjeuner libre  
14 h 30 – 18 h   Exposés-débats  
                 — « Le poisson et l'expérimentation animale » par E. Pattee et R. Labat  
                 — « Utilisation en pisciculture des eaux de refroidissement de centrale » par L. Foulquier  
                 — « Comportement alimentaire des truites en rivières » par A. Neveu  
                 — « Influence de la température sur quelques aspects de l'alimentation des poissons » par P. Luquet  
20 h 30          Dîner officiel

Jeudi 25 mai 1978 à l’hôtel du Palais

8 h 30 – 12 h    Séance « poster » (exposé sur tableau de 1,50 m²). Séance consacrée à l'information et aux travaux réalisés par les membres de l’A.F.L.  
                 Visite de l'exposition de matériels hydrobiologiques  
12 h – 14 h      Déjeuner libre  
14 h – 17 h      Assemblée générale avec en préliminaire la réunion du nouveau Conseil  
                 Questions diverses  
17 h – 17 h 30   Fin du Congrès

CONTENU DES TABLES RONDES

n° 1 — Qualité des eaux et pisciculture : animateurs Mmes Nisbet et Rizi  
        — Besoin en eau des piscicultures  
        — Notion de productions aquicoles intégrées  

n° 2 — Pathologie dans les systèmes piscicoles : animateur M. Tuffery  

n° 3 — La place du poisson dans l'écosystème : animateur M. Arrignon  
        — Rôle des poissons non recherchés par les pêcheurs  

n° 4 — Méthodes d’estimation rapide de la production : animateur M. Leveal  

n° 5 — Programmes de recherche en limnologie : animateur M. Decamps

L’ensemble des communications présentées, les comptes rendus de table ronde et les résumés des « posters » seront publiés dans le « Bulletin du Centre d'Études et de Recherches Scientifiques » de Biarritz.

[Photo : Bassins expérimentaux et d'élevage.]
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