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Matériels et Produits

Protéger les circuits de refroidissement en améliorant le rendement et en diminuant les coûts énergétiques

30 novembre 2010 Paru dans le N°336 ( mots)
Mexel Industries, qui figure parmi le top 1% des sociétés les plus innovantes en France, est spécialisée dans le développement et la commercialisation d'émulsions de produits organiques biodégradables, respectueux de l'environnement, basés sur les interactions moléculaires aux interfaces. Les émulsions développées trouvent leurs applications dans des domaines variés tels que le traitement de circuits d'eau de refroidissement, le démoulage des bétons et les auxiliaires de combustions pour combustibles. A Pollutec, l'entreprise présentera le procédé Mexel®432, un procédé de traitement et de protection des circuits de refroidissement ouverts et semi-ouverts, applicables aux centrales électriques conventionnelles ou nucléaires, à l'Industrie (aciéries, raffineries, plateformes offshore, unités LPG?.), aux bateaux, aux réseaux d'incendie?etc. Cité par l'IPPC parmi les « Best Available Techniques to Industrial Cooling », le Mexel® 432 provoque une amélioration du rendement et du taux de disponibilité des unités traitées et permet ainsi de diminuer les coûts énergétiques. Il permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre, ce qui donne accès aux quotas CO2. Simple, fiable, précis et ajustable, il atténue les risques d'exploitation et réduit les tâches de maintenance. Le coût d'installation du procédé est modeste et son coût d'exploitation négligeable. Le gain d'une unité traitée avec Mexel® 432 peut atteindre 1 à 3%, grâce à un meilleur transfert de la chaleur dans le condenseur et à un perfectionnement du condenseur sous vide. Pour une centrale électrique de 1500 MW, la réduction annuelle des émissions va de 100.000 à 300.000 tonnes pour le CO2, de 50.000 à 150.000 tonnes pour le SO2 et de 10 à 30 tonnes pour les NOx. Le produit est biodégradable et n?a pas d'impact sur l'environnement. Il ne contient pas de substances halogènes et les composants entrant dans sa fabrication ne présentent aucun effet cancérigène reconnu. Il n?est ni mutagène ni clastogène et n?entraîne pas de perturbations endocriniennes. Le procédé est aujourd'hui installé en France, entre autres, chez GDF a Dunkerque (2 x 400 MW) et chez EDF au Havre (2 x 600 MW + 1 x 250 MW - charbon) depuis plus de 10 ans. Il est par ailleurs installé sur de nombreux sites touchant des secteurs industriels variés.