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La nouvelle présidente du BRGM souligne sa volonté de renforcer le leadership de l’institut dans la gestion des ressources du sous-sol et risques associés

26 septembre 2023 Paru dans le N°465 ( mots)
© Mines Paris - PSL

Catherine Lagneau a pris ses nouvelles fonctions de présidente du conseil d’administration du BRGM le 1er septembre. Elle aura en charge la poursuite et le déploiement de la stratégie de l’institut axée sur l’atténuation et l’adaptation des sous-sols et des ressources au changement climatique.

Ancienne élève de l’École normale supérieure de Paris, où elle a été diplômée en mathématiques appliquées à la finance, puis formée à l’École des mines en Business et administration publique, Catherine Lagneau a intégré en 2007 la Direction régionale de l’industrie, de la recherche et de l’environnement (DRIRE) de Lorraine sous l’égide de la Préfecture.

En 2010, elle rejoint la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE), qu’elle quittera en 2012 pour devenir directrice adjointe de l’École des mines d’Alès.

Depuis 2017, elle occupait le poste de directrice déléguée de l’École des mines de Paris et avait intégré le Conseil général de l’économie au ministère de l’Économie et des Finances.  

Forte de ses responsabilités de présidente du BRGM, elle précise son intention de maintenir le cap des travaux menés par ses successeurs, Michèle Rousseau, partie à la retraite le 1er avril dernier, et Christophe Poinssot, directeur général délégué par interim. « J’ai eu l’opportunité d’observer, de l’extérieur, à quel point le BRGM est reconnu pour sa recherche, son expertise, son appui aux pouvoirs publics, sa présence sur le territoire national comme à l’international. Pour faire face aux défis de l’adaptation et de l’atténuation du changement climatique et de la reconstruction de notre souveraineté, les attentes envers le BRGM sont élevées. En tant que présidente de l’établissement, j’aurai à cœur de maintenir et de développer cette place déterminante pour que le BRGM continue à occuper, avec ambition et dans un esprit d’ouverture, sa place de service géologique national et de leader dans la gestion des ressources du sous-sol et risques associés ».